Un avenir prometteur pour AGA… et pour ses clients

Retour au blogue

Photo blogue nouvelles MVV-1

Une entreprise doit revoir périodiquement sa mission, sa vision et ses valeurs pour s’assurer qu’elles correspondent à sa réalité d’aujourd’hui et qu’elles traduisent bien ses grandes orientations. AGA assurances collectives s’est prêtée à cette démarche dans les derniers mois, ce qui a permis notamment de développer une nouvelle promesse de marque : le meilleur des gens et de la technologie. Dans cette entrevue, Martin Papillon, président-directeur général et Chantal Dufresne, vice-présidente principale, finance et opérations, nous parlent du cheminement qui a mené aux nouvelles mission, vision et valeurs et de ce que cela signifie pour nos clients actuels et futurs.

Pourquoi est-ce qu’AGA a décidé de revoir sa mission, sa vision et ses valeurs?

Martin Papillon (MP) : Depuis 2020, on a pris beaucoup d’expansion, que ce soit par croissance organique ou par l’entremise de six acquisitions stratégiques. C’est donc normal de prendre un temps d’arrêt et de regarder si notre raison d’être est toujours la même, si elle est claire, et si elle est bien communiquée à l’interne comme à l’externe.

Chantal Dufresne (CD) : On a souvent exprimé notre désir de passer d’un leader régional à une société d’envergure nationale. Quand nous sommes arrivés chez AGA en 2013, nous étions 80 employés; nous sommes maintenant plus de 300. L’un des bénéfices de l’exercice mission-vision-valeurs, c’est de s’assurer que tout le monde est aligné et sait dans quel cadre prendre ses décisions.

Comment la refonte s’est-elle déroulée, et avez-vous eu des surprises durant le processus?

CD : C’est un peu comme aller chez le psychologue (rires). C’est une occasion de se poser des questions fondamentales, comme ‘Qu’est-ce qui fait qu’on est unique?’, ‘Où est-ce qu’on veut aller?’… Avec des partenaires externes spécialisés en stratégie d’entreprise, on a retourné toutes les pierres, comme on dit : on a consulté notre comité exécutif, on a tenu des entrevues avec des clients, on a décortiqué nos sondages employé...

Une des surprises, si j’ose dire, c’est que malgré les années, on est restés fidèles à ce qui nous distingue : notre positionnement unique de tiers parti payeur / tiers parti administrateur (TPA/TPP), notre service à la clientèle personnalisé, et notre technologie qui s’adapte constamment pour simplifier la vie de nos clients. Le portrait qui ressort, c’est qu’on a gardé le cap et que les employés qui ont joint AGA ont embrassé nos grands objectifs.

La mission parle entre autres d’aider les clients à renforcer leur culture d’entreprise. Concrètement, comment AGA peut jouer ce rôle-là?

MP : On entendait beaucoup il y a 10-15 ans qu’on arrivait à ‘la fin des avantages sociaux’, que la nouvelle génération voulait seulement un salaire et que le reste n’avait plus d’importance. Ce n’est pas ce qui s’est passé ! Les entreprises cherchent plus que jamais à se distinguer et leurs régimes d’avantages sociaux s’inscrivent dans la promotion de leur marque employeur. Elles veulent s’assurer d’offrir une tranquillité d’esprit à leurs employés pour qu’ils puissent se concentrer à être le plus efficaces possibles au travail. Avec les produits qu’on offre et la facilité d’utilisation de nos plates-formes d’administration, on permet aux organisations de toutes tailles d’avoir des régimes intéressants à coûts raisonnables, et ça, c’est un plus.

Donc oui, les avantages sociaux sont une façon pour une organisation de façonner sa culture, d’envoyer un message sur sa personnalité et ce qui la rend unique dans un contexte d’attraction et de rétention.

AGA_One pager valeurs_FR

La vision est ambitieuse et inclut un passage sur ‘redéfinir l’avenir du travail’. Comment AGA peut-elle contribuer à ça?

MP : Le lancement récent de notre programme Avantages AGA, qui propose des offres exclusives à prix réduits en matière de santé physique, mentale et financière, est une preuve tangible que les avantages sociaux se transforment avec la société. Bien sûr, on va toujours avoir besoin des antibiotiques et de sa visite chez le dentiste, mais il y a de plus en plus d’intérêt chez les employeurs et chez les employés pour des produits distinctifs. On n’aurait pas parlé d’aide au sommeil, de soutien pour trouver une résidence pour ses parents ou d’aide pour vivre avec une maladie chronique dans une proposition à ses employés il y a 10 ou 15 ans… mais les produits complémentaires sont en plein essor.

Et les régimes d’épargne, ça s’est diversifié – on met maintenant de l’argent de côté pas nécessairement pour la retraite, mais pour l’achat d’une propriété, pour des projets personnels… et l’employeur peut faciliter ça. Encore là, on a les ressources qu’il faut pour soutenir les employeurs là-dedans.

CD : L’avenir du travail, c’est aussi comment la technologie évolue. L’une de nos forces, ce sont nos services d’administration de régimes et nos logiciels SIRH comme Cangaroo. Ca permet aux responsables des ressources humaines d’avoir accès à des outils performants pour pouvoir passer moins de temps sur les aspects administratifs et mieux jouer leur rôle. On va continuer à investir des sommes importantes dans les prochaines années pour améliorer nos systèmes d’administration et nos portails libre-service pour les employeurs et les employés, pour que les gens puissent faire de plus en plus de choses en ligne, plus facilement.

Parlez-nous des trois valeurs. Pourquoi ont-elles été choisies pour incarner la culture d’AGA et de ses employés?

MP : « Rassembler nos forces », c’est vraiment dans l’ADN d’AGA depuis toujours. D’abord, on fait travailler nos gens ensemble et on encourage le partage de connaissances pour en donner davantage à nos clients. Évidemment, ça fait aussi référence aux acquisitions qu’on a faites et qu’on va continuer à faire pour élargir notre portefeuille de solutions et avoir des ressources partout au pays.

CD : « Innover pour mener », ça s’exprime par notre place de leader en tant que TPA/TPP au Canada, comme je l’ai évoqué tantôt. Mais ça nous définit bien comme organisation agile, qui n’a pas peur d’essayer des choses et de se remettre constamment en question. Nos employés savent qu’ils peuvent toujours suggérer des changements, qu’ils sont les experts dans ce qu’ils font et qu’on s’attend à ce qu’ils identifient les opportunités d’amélioration. C’est ce qui nous a permis de progresser.

MP : « Élever les autres », c’était important que ça fasse partie de nos nouvelles valeurs. Ce n’est pas juste travailler ensemble, mais vraiment s’assurer qu’on donne des défis à nos employés pour les sortir de leur zone de confort, pour faire grandir les gens et l’entreprise. C’est aussi élever nos clients, qui sont souvent des généralistes en ressources humaines – ne pas hésiter à leur partager notre savoir et à les rendre meilleurs.

Vous profitez de l’occasion pour dévoiler une nouvelle promesse de marque : le meilleur des gens et de la technologie. Qu’est-ce que ça sous-entend?

CD : Je la décrirais comme ça : chez AGA, les gens rendent la technologie meilleure, et la technologie rend les gens meilleurs. C’était important d’avoir les deux aspects dans notre promesse de marque. Ça fait ressortir que nos employés sont au cœur de notre succès et, par ricochet, du succès de nos clients.

MP : On réussit à offrir des solutions technologiques à échelle humaine, conçues par nos gens, à un coût concurrentiel sur le marché canadien. On est reconnu sur le marché pour ça, et on en est fier.

Qu’est-ce que le reste de l’année 2025 réserve à AGA?

MP : Notre stratégie d’expansion nationale va se poursuivre. On a formalisé nos processus liés à la recherche et à l’intégration d’acquisitions et on met davantage de ressources sur ces processus. On a développé une expertise pour identifier des entreprises qui ajoutent de la valeur et pour les intégrer efficacement au modèle AGA, et on va continuer.

CD : Tout le monde le constate, 2025 va être une année de transition. Nos clients sont à l’affût des bouleversements économiques et politiques à l’horizon, et ont besoin d’accompagnement pour naviguer dans tout ça. Les défis liés à la main-d’œuvre sont encore bien présents, et on sait que la gestion des coûts reste un enjeu. Ça risque d’être une année chargée, mais on est prêt !

Un avenir prometteur pour AGA… et pour ses clients

Photo blogue nouvelles MVV-1

Une entreprise doit revoir périodiquement sa mission, sa vision et ses valeurs pour s’assurer qu’elles correspondent à sa réalité d’aujourd’hui et qu’elles traduisent bien ses grandes orientations. AGA assurances collectives s’est prêtée à cette démarche dans les derniers mois, ce qui a permis notamment de développer une nouvelle promesse de marque : le meilleur des gens et de la technologie. Dans cette entrevue, Martin Papillon, président-directeur général et Chantal Dufresne, vice-présidente principale, finance et opérations, nous parlent du cheminement qui a mené aux nouvelles mission, vision et valeurs et de ce que cela signifie pour nos clients actuels et futurs.

Pourquoi est-ce qu’AGA a décidé de revoir sa mission, sa vision et ses valeurs?

Martin Papillon (MP) : Depuis 2020, on a pris beaucoup d’expansion, que ce soit par croissance organique ou par l’entremise de six acquisitions stratégiques. C’est donc normal de prendre un temps d’arrêt et de regarder si notre raison d’être est toujours la même, si elle est claire, et si elle est bien communiquée à l’interne comme à l’externe.

Chantal Dufresne (CD) : On a souvent exprimé notre désir de passer d’un leader régional à une société d’envergure nationale. Quand nous sommes arrivés chez AGA en 2013, nous étions 80 employés; nous sommes maintenant plus de 300. L’un des bénéfices de l’exercice mission-vision-valeurs, c’est de s’assurer que tout le monde est aligné et sait dans quel cadre prendre ses décisions.

Comment la refonte s’est-elle déroulée, et avez-vous eu des surprises durant le processus?

CD : C’est un peu comme aller chez le psychologue (rires). C’est une occasion de se poser des questions fondamentales, comme ‘Qu’est-ce qui fait qu’on est unique?’, ‘Où est-ce qu’on veut aller?’… Avec des partenaires externes spécialisés en stratégie d’entreprise, on a retourné toutes les pierres, comme on dit : on a consulté notre comité exécutif, on a tenu des entrevues avec des clients, on a décortiqué nos sondages employé...

Une des surprises, si j’ose dire, c’est que malgré les années, on est restés fidèles à ce qui nous distingue : notre positionnement unique de tiers parti payeur / tiers parti administrateur (TPA/TPP), notre service à la clientèle personnalisé, et notre technologie qui s’adapte constamment pour simplifier la vie de nos clients. Le portrait qui ressort, c’est qu’on a gardé le cap et que les employés qui ont joint AGA ont embrassé nos grands objectifs.

La mission parle entre autres d’aider les clients à renforcer leur culture d’entreprise. Concrètement, comment AGA peut jouer ce rôle-là?

MP : On entendait beaucoup il y a 10-15 ans qu’on arrivait à ‘la fin des avantages sociaux’, que la nouvelle génération voulait seulement un salaire et que le reste n’avait plus d’importance. Ce n’est pas ce qui s’est passé ! Les entreprises cherchent plus que jamais à se distinguer et leurs régimes d’avantages sociaux s’inscrivent dans la promotion de leur marque employeur. Elles veulent s’assurer d’offrir une tranquillité d’esprit à leurs employés pour qu’ils puissent se concentrer à être le plus efficaces possibles au travail. Avec les produits qu’on offre et la facilité d’utilisation de nos plates-formes d’administration, on permet aux organisations de toutes tailles d’avoir des régimes intéressants à coûts raisonnables, et ça, c’est un plus.

Donc oui, les avantages sociaux sont une façon pour une organisation de façonner sa culture, d’envoyer un message sur sa personnalité et ce qui la rend unique dans un contexte d’attraction et de rétention.

AGA_One pager valeurs_FR

La vision est ambitieuse et inclut un passage sur ‘redéfinir l’avenir du travail’. Comment AGA peut-elle contribuer à ça?

MP : Le lancement récent de notre programme Avantages AGA, qui propose des offres exclusives à prix réduits en matière de santé physique, mentale et financière, est une preuve tangible que les avantages sociaux se transforment avec la société. Bien sûr, on va toujours avoir besoin des antibiotiques et de sa visite chez le dentiste, mais il y a de plus en plus d’intérêt chez les employeurs et chez les employés pour des produits distinctifs. On n’aurait pas parlé d’aide au sommeil, de soutien pour trouver une résidence pour ses parents ou d’aide pour vivre avec une maladie chronique dans une proposition à ses employés il y a 10 ou 15 ans… mais les produits complémentaires sont en plein essor.

Et les régimes d’épargne, ça s’est diversifié – on met maintenant de l’argent de côté pas nécessairement pour la retraite, mais pour l’achat d’une propriété, pour des projets personnels… et l’employeur peut faciliter ça. Encore là, on a les ressources qu’il faut pour soutenir les employeurs là-dedans.

CD : L’avenir du travail, c’est aussi comment la technologie évolue. L’une de nos forces, ce sont nos services d’administration de régimes et nos logiciels SIRH comme Cangaroo. Ca permet aux responsables des ressources humaines d’avoir accès à des outils performants pour pouvoir passer moins de temps sur les aspects administratifs et mieux jouer leur rôle. On va continuer à investir des sommes importantes dans les prochaines années pour améliorer nos systèmes d’administration et nos portails libre-service pour les employeurs et les employés, pour que les gens puissent faire de plus en plus de choses en ligne, plus facilement.

Parlez-nous des trois valeurs. Pourquoi ont-elles été choisies pour incarner la culture d’AGA et de ses employés?

MP : « Rassembler nos forces », c’est vraiment dans l’ADN d’AGA depuis toujours. D’abord, on fait travailler nos gens ensemble et on encourage le partage de connaissances pour en donner davantage à nos clients. Évidemment, ça fait aussi référence aux acquisitions qu’on a faites et qu’on va continuer à faire pour élargir notre portefeuille de solutions et avoir des ressources partout au pays.

CD : « Innover pour mener », ça s’exprime par notre place de leader en tant que TPA/TPP au Canada, comme je l’ai évoqué tantôt. Mais ça nous définit bien comme organisation agile, qui n’a pas peur d’essayer des choses et de se remettre constamment en question. Nos employés savent qu’ils peuvent toujours suggérer des changements, qu’ils sont les experts dans ce qu’ils font et qu’on s’attend à ce qu’ils identifient les opportunités d’amélioration. C’est ce qui nous a permis de progresser.

MP : « Élever les autres », c’était important que ça fasse partie de nos nouvelles valeurs. Ce n’est pas juste travailler ensemble, mais vraiment s’assurer qu’on donne des défis à nos employés pour les sortir de leur zone de confort, pour faire grandir les gens et l’entreprise. C’est aussi élever nos clients, qui sont souvent des généralistes en ressources humaines – ne pas hésiter à leur partager notre savoir et à les rendre meilleurs.

Vous profitez de l’occasion pour dévoiler une nouvelle promesse de marque : le meilleur des gens et de la technologie. Qu’est-ce que ça sous-entend?

CD : Je la décrirais comme ça : chez AGA, les gens rendent la technologie meilleure, et la technologie rend les gens meilleurs. C’était important d’avoir les deux aspects dans notre promesse de marque. Ça fait ressortir que nos employés sont au cœur de notre succès et, par ricochet, du succès de nos clients.

MP : On réussit à offrir des solutions technologiques à échelle humaine, conçues par nos gens, à un coût concurrentiel sur le marché canadien. On est reconnu sur le marché pour ça, et on en est fier.

Qu’est-ce que le reste de l’année 2025 réserve à AGA?

MP : Notre stratégie d’expansion nationale va se poursuivre. On a formalisé nos processus liés à la recherche et à l’intégration d’acquisitions et on met davantage de ressources sur ces processus. On a développé une expertise pour identifier des entreprises qui ajoutent de la valeur et pour les intégrer efficacement au modèle AGA, et on va continuer.

CD : Tout le monde le constate, 2025 va être une année de transition. Nos clients sont à l’affût des bouleversements économiques et politiques à l’horizon, et ont besoin d’accompagnement pour naviguer dans tout ça. Les défis liés à la main-d’œuvre sont encore bien présents, et on sait que la gestion des coûts reste un enjeu. Ça risque d’être une année chargée, mais on est prêt !